|
Note de lecture FRANÇAIS A partir de la
réception et de ma lecture du texte proposé, j´ai préparé
différents points pour la discussion qui s´egagera dans la session
plénière. L´auteur met en relief le titre de son travail:
"La fin de l´analyse et la question homme-femme en tant que valeurs
sexuelles." L´accentuant a partir de l´hypothèse extraite
des dernières leçons du Sem. XVIII de J. Lacan: "Que la fonction
de l´analyste, à la limite du réel de l´expérience
de l´analyse, est de déclouer la fonction qu´une femme introduit". Je
pense que le fil conducteur de cette hypothèse doit être supporté
par les 5 premières questions principales, qui se développeront,
et desquelles nous allons nous occuper de situer dans ce travail. Ce sont: 1
- Comment l´analyste peut-il arriver, dans une analyse, à situer
sa discursivité d´une manière telle qu´il puisse opérer
dans le sens de déclouer cette fonction qu´une femme peut introduir? 2
- En quel point de l´avancée discursive, dans une analyse, il est
nécessaire d´arriver pour que cette question logique soit présente
dans l´expérience? 3 - Où localiser cette question? 4
- Pouquoi dit-on que cette fonction c´est l´analyste qui peut la déclouer,
sous condition que se présentent les interrogeants qui indiquent la fin
de l´analyse? 5 - Et pourquoi est-elle une fonction qui est forclose
dans d´autres discours y compris dans le discours de la psycanalyse? Dans
un premier moment l'auteur, posé comme condition de base pour ces questions
le fait qu´il s´agit d´un être parlant et non pas de n´importe
qui. Ce n´est pas n´importe qui, puisqu´il s´agit d´UN
qui parle, dans une analyse, et qui, pas à pas, comence à percevoir
dans quelle mesure il est soumis aux effets de jouissance par le significant produit
dans le langage. Signale que sont nécessaire temps et conditions pour que
cela s´effectue. Que cette situation marque une implication du sujet dans
sa propre analyse pour qu´il ait la possibilité de commencer à
s´interroger comment vient-il de fonctionner et pour qu´il puisse
commencer à écouter quelque chose de ce qu´il parle. Ici
l´auteur montre un des premiers pas, dans le sens qu´à ce point,
le travail analytique entre en relation avec la fonction phalique qui se présente
comme un malaise qui attaque les êtres qui parlent. Malaise qui s´établit
par une logique qui s´énonce dans la frase de Lacan "il n´y
a pas de relation sexuelle". La carence de cette relation sexuelle place
un discours possible qui n´apparait que comme un symptome. Que des conditions,
d´une certainne manière, obtiendraient un succès - dans le
but de pourvoir à ce manque, inscrit dans l´être qui parle,
dans la béance qui s´ouvre comme possibilité - pour que le
sujet arrive à s´interroger em relation à ce qui lui revient,
dans ce qu´íl, vit comme jouissance réelle. Au long du texte
l´auteur indique les pas nécessaires, en terme de temps logique de
l´inconscient, por qu´une logique se présente au sujet dans
cette intérogation en termes discursifs. Ce point du travail analytique,
très important, est situé par la Table de la Sexuation - où
la frase grammaticale "il n´y a pas de relation sexuelle" atteint
une logique - du coté gauche de la Table c´est-à-dire du coté
homme. Dans l´affirmation qu´il n´y a pas de relation sexuelle,
dans le sens qu´il est impossible que l´on écrive, où
soit, que l´on n´arrète pas de ne pas s´écrire,
parce qu´íl n´y a pas dans l´inconscient l´inscription
de la différence homme- femme et que, par la voie significante du phallus,
on n´arrive qu´à la question logique d´être et
d´avoir, logique à laquelle on n´a accès que par les
opérations discursives. Je pense que c´est l´un des temps
dans le texte qui mérite d´être débattu. Parce que,
comme le montre l´auteur, il s´agit d´un point limite de l´avance
discursif qui est dans la béance entre le discours de l´histérique
et le discours du maître où le phallus a ses fonctions, justement
parce qui se dissimule dans les mystères du féminin. Point d´échec
en relation au phallus comme organe par l´entré du signifant, cause
des effets de la jouissance en faissant la différence dans le positionnement
du sujet en relation à la castration. Dans le texte , il y a un pas
de plus dans le fait que l´auteur localise son hypothèse iniciale:
"Comment relancer le pari, comment relancer le a qui est ce qui permet d´avancer
et d´opérer dans une analyse?" "Point vivant" dans
une analyse, suivant la lecture que l´auteur fait de J. Lacan où
ceux qui écoutent, comme analyste, soient impliqués, faisant en
sorte que la pratique accomplie dans le travail analytique ait des conséquences.
Suivant alors, dans ce point, où l´auteur localize l´hypothèse
qu´elle prétend discuter dans ce travail, nous trouvons le SsS comme
quelque chose que "l´analyste a besoin de faire support pour tomber,
pour "des-ser" d´être lui." Éclaircie que ce
suport "est en train d´être laissé en dehors des analyses".
et c´est pourquoi il est nécessaire d´avancer puisqu´il
se trouve fixé sur deux versants. Sur le versant logique qui laisse le
SsS en dehors car il indique la maitrise ou le versant histérique qui le
laisse dans la tromperie. Toutefois la logique peut aussi bien couvrir l´incommensurabilité
(§ 8º) si elle se met en place de la vérité comme elle
peut aussi être un appui pour eviter les confusions au sujet du statut de
l´analyste. Encore un passage à discuter où la place de
la vérité devra prendre une autre dimention, "pour ce qui s´ouvre
en forme de tracé présenté à l´analyste en fonction
de l`endroit où il doit se mettre pour son acte." Point où
les analystes ont reculés, où il est nécessaire de faires
des coupures, où le a glisse, où l´analyste revient au monde
sphérique. Toutefois c´est le point où "il est nécessaire
de relancer le a, dans la voie de la fonction de l´écrit, en tant
qu´il se met en relation avec le réel lacanien". Lá,
la direction signalée, n´est pas de discuter la relation, par les
propositions du coté homme, par la voie significative du phallus - ce n´est
pas sans passer par elles- mais, donner plus d´ espace qui serait celui
d´utiliser cette logique qui s´ouvre " dans la direction d´interroger
le phallus en termes de sa condition de vérité" Cette interrogation
se situe dans les formules qui se touve du coté droit de la Table de Sexuation,
coté femme. Suivant Lacan, l´auteur nous dit que la fonction d´une
femme ne se décloue que dans ce que le mathématicien demande en
termes de multi-unité, si la fonction qu´elle a est de savoir que
le Père est lá dans sa fonction radicale. Je demande: serait-ce,
alors, a ce moment, la possibilité de venir à se faire une décision
irréversible par "un retour sur le réel qui pointe en chacun
des trous des différents discours, relativement aux valeurs sexuelles qui
sont homme-femme en relation a la valeur de la jouissance du phallus en ce que
significant dans le language"? Le désir serait-il d´une autre
manière que de ne pas être attaché au significant Nome du
Père fixant l´équivalant du Phallus? L´auteur soutient
dans le texte un point de vue d´avancé discursuve où il pourra
y avoir des changements dans les liens sociaux et non pas récupération
de la jouissance. Fonction qu´une femme peut introduire - parce qu´elle
n´est pas tout jouissance phallique - " on peut écrire ce que
l´on peut inscrire justement pour ne pas être". Encore un
pas. Cette opération marque une place dans la béance entre le discours
du maître et de l´analyste lá où la logique ne recouvre
pas la dimension de la vérité, "point du tracé où
l´analyste a besoin de se situer pour déclouer la fonction qu´une
femme peut introduire". Afirmer que " si quelque chose s´écrit
dans un lieu mathématique, qui n´est pas quelconque, une fois que
la logique de la castration est en relation a l´impossibilité d´écrire
la relation sexuelle, dans le sens de ce qu´elle ne cesse pas de ne pas
s´écrire, ce ne peut être quelque chose que par la voie du
contingent, du coté femme, dans le sens de qu´elle cesse de ne pas
s´écrire". Ayant la possibilité de que quelque chose
s´écrive, cela ouvre les deux versants logiques. L´un d´eux
mettrait les lettres qui se pulvérisent et qui retourne en relation a ça
qu´on essaie d´être en lieu de la jouissance maternelle, jouissance
unificatrice, d´après les signifiants paternels, lieu qui comme le
situe, l'auteur, Isabel Considera, permet quelque réalisation dans la communauté
des hommes, mais qui dans le symbolisme maintien le désir attaché
à la compulsion du destin. L´autre versant, où " les
lettres qui ici ne réalisente pas la consistance d´un être
car elle ne peuvet être écrites, sont celles qui autorisent l´analyste
à soutenir leur pratique, son acte, qui est de faire support du SsS por
son "des-ser" Isabel termine en soulignant, une fois de plus, que
cette fonction qu´une femme introduit, pour être forclose dans d´autres
discours, même celui du psycanalyste, seul l ´analyste peut la déclouer
par des opérations discursives et que ces opérations sont à
voir avec le réel lacanien donc avec le final de l´analyse seule
possibilité pour un pari qui met le pair analiste/analysant à venir
faire des changements dans la jouissance réelle. Donc, souligne que - les
points cruciaux du final de l´analyse pour Lacan - il s´agit d´
"une jouissance réelle qui vienne décider la pratique en termes
qui viennent à produire des conséquences". Pour l´auteur
la fonction qu´une femme introduit est l´hetérosexualité,
aussi bien pour un sexe que pour l´autre . En partant des points articulés
dans l´écriture de ce texte et des assertives proposées qui
dessinent la géographie conceptuelle de ce Congrès, je situe ce
travail en relation au premier thème "L´ inconscient comme sexuel" ESPAGNOL A
partir del acogimiento y de mi lectura del texto propuesto, elaboré algunos
puntos para la discusión que se entablará en la sesión plenaria. La
autora pone de relieve el título de su trabajo, "El final de análisis
y la cuestión hombre - mujer en cuanto valores sexuales", enfatizándolo
a partir de la hipótesis extraída de las últimas clases del
Sem. XVIII de J. Lacan. "Que, en el límite de lo real de la experiencia
del análisis, la función del analista es despegar la función
que una mujer introduce". Pienso que el hilo conductor de esta hipótesis
viene siendo sostenido por las cinco principales cuestiones iniciales, que se
desdoblan, las cuales trataré de situar en este trabajo. Son ellas: 1-
¿Cómo puede el analista llegar, en un análisis, a estar discursivamente
situado de manera que pueda operar en el sentido de despegar esta función
que una mujer puede introducir? 2- ¿En qué punto de avance discursivo,
en un análisis, hace falta llegar, para que esta cuestión lógica
se presente en la experiencia? 3- ¿Dónde ubicar esta cuestión? 4-
¿Por qué dijo que esta función la puede despegar el analista,
bajo la condición de que se presenten los interrogantes que indican el
final de análisis? 5- ¿Y por qué es una función
que está forcluída entre otros discursos, incluso en el discurso
del psicoanálisis?
En un primer momento, plantea como condición
básica para estas cuestiones el hecho de que se trata de un ser hablante,
y que no es uno cualquiera. No es uno cualquiera por tratarse de uno que habla
en un análisis y que, paso a paso, empieza a percibir cuan sometido está
a los efectos de goce que el significante produce en el lenguaje. La autora señala
que se hace necesario tiempo y condiciones para que esto se efectúe. Que
esta situación marca una implicación del sujeto en el propio análisis,
para que tenga posibilidades de empezar a preguntarse cómo viene funcionando,
para poder empezar a escuchar algo de lo que habla. Aquí, la autora
señala uno de los primeros pasos, en el sentido de que, en este punto,
la tarea analítica se encuentra con relación a la función
fálica que, a su vez, se presenta en términos de un mal-estar que
acomete a los seres hablantes. Mal-estar que se instaura por una lógica
que se enuncia en la frase de Lacan: "no hay relación sexual".
La carencia de esa relación sexual sitúa un discurso posible que
no aparecería más que como un síntoma. Que algunas condiciones,
de alguna manera, alcanzarían éxito, en el sentido de suplir en
esta falta inscripta en el ser hablante, en la hiancia que se abre como posibilidade
para que el sujeto llegue a interrogarse, con relación a aquello que le
retorna en lo que vive como goce real. En el transcurso del texto, la autora indica
los pasos necesarios, en términos del tiempo lógico del inconsciente,
para que una lógica se presente al sujeto, en esta interrogación
en términos discursivos. Este punto de la tarea analítica, importantísimo,
está situado, por la Tabla de Sexuación - donde la frase gramatical
"no hay relación sexual" alcanza una lógica - en el lado
izquierdo de la Tabla, es decir, en el lado hombre. En la afirmación de
que no hay relación sexual, en el sentido de que es imposible que se escriba,
o sea, de que no cesa de no escribirse porque, no hay en el inconsciente la inscripción
de la diferencia hombre - mujer. Es que por la vía significante del falo
se llega a la cuestión lógica del ser y del tener, lógica
ésta que sólo se tiene acceso por las operaciones discursivas. Pienso
que es uno de los tiempos en el texto que merece ser debatido porque, como sitúa
la autora, se trata de un punto límite de avance discursivo que está
en la hiancia entre el discurso de la histérica y el discurso del amo,
donde el falo tiene función, justamente, por lo que se oculta en los misterios
de lo femenino. Punto de fracaso con relación al falo como órgano,
por la entrada del significante, en cuanto causa de los efectos de goce, haciendo
diferencia en el posicionamiento del sujeto con relación a la castración. En
el texto, leo un paso más en el hecho de que la autora ubique su hipótesis
inicial. "¿Cómo relanzar la apuesta, cómo relanzar el
a, que es lo que permite seguir y operar en un análisis?" "Punto
vivo" en un análisis, según la lectura que la autora hace de
J. Lacan, donde aquellos que escuchan como analistas estén implicados,
haciendo con que la práctica desempeñada en la tarea analítica
tenga consecuencias. Siguiendo entonces, en este punto, donde está ubicada
la hipótesis que la autora pretende discutir en este trabajo, encontramos
el SsS como algo que "el analista necesita hacer soporte para caer, para
"des-ser" de serlo". Aclara que tal soporte "viene siendo
dejado fuera de los análisis", y es lo que necesita avanzar por encontrarse
fijado en dos vertientes. En la vertiente lógica que deja fuera el SsS,
por apuntar a la maestría, o en la vertiente histérica que lo deja
en la falacia. Sin embargo, la lógica puede tanto encubrir la inconmensurabilidad
(§ 8) si ella va al lugar de la verdad, como también la lógica
puede ser un auxilio para evitar confusiones con respecto al estatuto del analista. Un
pasaje más a ser discutido: donde el lugar de la verdad deberá tomar
otra dimensión, "por lo que se abre en la forma del trazado de aquello
que se sitúa para el analista, en términos del punto donde éste
debe situarse, para su acto". Punto donde los analistas han retrocedido,
donde es necesario hacer cortes, donde el a desliza, donde el analista vuelve
al mundo esférico. Pero es el punto donde "hace falta relanzar el
a, en la vía de la función de lo escrito, por cuanto éste
tiene que ver con el real lacaniano". Ahí, la dirección señalada
no es la de cuestionar la relación por las proposiciones en el lado hombre,
por la vía significante del falo - no lo es sin pasar por ellas -, sino,
la de dar un espacio más, que sería el de utilizar esa lógica
que se abre "en la dirección de interrogar el falo en términos
de su condición de verdad". Esta interrogación se sitúa
en las fórmulas que están en el lado derecho, lado mujer de la Tabla
de Sexuación. Siguiendo Lacan, la autora nos dice que la función
de una mujer sólo se despega en lo que el matemático pide en términos
de la multiunidad, si la función que ésta tiene es saber que el
Padre está allí en su función radical. Pregunto: ¿Habría,
entonces, en este punto, la posibilidad de venir a tomarse una decisión
irreversible, por "una vuelta sobre lo real, que pasa en cada uno de los
agujeros de los diferentes discursos, en lo que respecta a los valores sexuales
que son hombre-mujer, con relación al valor de goce del falo como significante
en el lenguaje"? ¿El deseo estaría de una otra manera, que
no atado al significante Nombre del Padre, haciendo equivalencia del falo? La
autora plantea en el texto un punto de avance discursivo según el cual
podrá haber cambios en el lazo social, y no, recuperación del goce.
Función que una mujer puede introducir - por ser no-toda goce fálico
- "puede escribir aquello que se puede inscribir justamente por no serlo". Un
paso más. Esta operación marca un lugar en la hiancia entre el discurso
del maestro y el del analista, donde la lógica no encubre la dimensión
de la verdad, "punto del trazado donde el analista necesita situarse, para
despegar la función que una mujer puede introducir". Afirma que "si
algo se escribe en un lugar matemático, que no es uno cualquiera, una vez
que la lógica de la castración está con relación a
lo imposible de escribir la relación sexual, en el sentido de que no cesa
de no escribirse, sólo puede ser algo por la vía del contingente,
por el lado mujer, en el sentido de que para de no escribirse". Habiendo
posibilidades de que se escriba algo, abre a dos vertientes lógicas. Una
de ellas pondría las letras que se pulverizan y que retornan con relación
a eso que se intenta ser en el lugar del goce materno, goce unificante, según
los significantes paternos, lugar que, como sitúa Isabel Considera, permite
alguna realización en la comunidad de los humanos, pero que en lo simbólico
mantiene el deseo atado a la compulsión del destino. La otra vertiente,
donde "las letras que ahí no hacen consistencia de ser, porque no
pueden ser escritas, son las que autorizan al analista a sosterner su práctica,
su acto, que es hacer soporte del SsS para su des-ser". Finaliza, señalando
una vez más que esa función que una mujer introduce, por estar forcluída
en los otros discursos, aún en el del psicoanálisis, sólo
la puede despegar el analista, por operaciones discursivas, y que estas operaciones
tienen que ver con el real lacaniano, y por lo tanto, con el final de análisis,
única posibilidad por una apuesta, que pone el par analista-analisante,
llegando a hacer cambios en el goce real. Entonces, la autora resalta que - los
puntos cruciales del final de análisis para Lacan - se trata de "un
goce real que venga a decidir la práctica en términos de que ésta
venga a tener consecuencias". Para la autora, la función que una mujer
introduce es la heterosexualidad, tanto para un sexo como para otro sexo. Partiendo
de los puntos articulados en la escritura de este texto y de las aserciones propuestas
que delinean la geografía conceptual de este Congreso, sitúo este
trabajo en relación al primer tema: "El inconsciente como sexual". PORTUGAIS A
partir do acolhimento, e de minha leitura do texto proposto, preparei alguns pontos
para a discussão que se engajará na sessão plenária.. A
autora, coloca em relevo o título de seu trabalho, "O final de análise
e a questão homem - mulher enquanto valores sexuais", enfatizando-o
a partir da hipótese extraída das últimas aulas do Sem. XVIII
de J. Lacan. "Que, no limite do real da experiência da análise,
a função do analista é despregar a função que
uma mulher introduz". Penso, que o fio condutor desta hipótese
vem sendo sustentado, pelas 5 principais questões iniciais, que se desdobram,
das quais irá tratar de situar neste trabalho. São elas: 1 -
Como o analista pode chegar, numa análise, a estar discursivamente situado
de maneira tal que possa operar no sentido de despregar esta função
que uma mulher pode introduzir? 2 - Em que ponto de avanço discursivo,
numa análise, é preciso chegar, para que esta questão lógica
se apresente na experiência? 3 - Onde localizar esta questão? 4
- Por que disse que esta função é o analista que a pode despregar,
sob a condição de que se apresentem os interrogantes que indicam
o final de análise? 5 - E porque é uma função que
está forcluída entre outros discursos, inclusive mesmo no discurso
da psicanálise? Num primeiro momento, coloca como condição
básica para estas questões, o fato de que se trata de um ser falante,
e que não é qualquer um. Não é qualquer um, por se
tratar de um que fala numa análise, e, que, passo a passo, começa
a perceber o quanto está submetido aos efeitos de gozo que o significante
produz na linguagem. A autora assinala que é necessário tempo e
condições para que isto se efetue. Que, esta situação,
marca uma implicação do sujeito na própria análise,
para que, tenha possibilidades de começar a se perguntar como vem funcionando,
poder começar a escutar alguma coisa do que fala. Aqui, a autora aponta
um dos primeiros passos, no sentido de que neste ponto, a tarefa analítica
encontra-se em relação à função fálica,
que se apresenta em termos de um mal-estar que acomete os seres falantes. Mal-estar,
que se instaura por uma lógica que se enuncia na frase de Lacan: "não
há relação sexual". A carência dessa relação
sexual, situa um discurso possível, que não apareceria mais que
como um sintoma. Que algumas condições, de alguma maneira alcançariam
êxito, no sentido de suprir nesta falta inscrita no ser falante, na hiância
que se abre como possibilidades para o sujeito chegar a se interrogar, em relação
àquilo que lhe retorna no que vive como gozo real. No decorrer do texto,
a autora indica os passos necessários, em termos do tempo lógico
do inconsciente, para que uma lógica se apresente ao sujeito, nesta interrogação
em termos discursivos. Este ponto da tarefa analítica, importantíssimo,
está situado, pela Tábua da Sexuação - onde a frase
gramatical "não há relação sexual" alcança
uma lógica - do lado esquerdo da Tábua, ou seja, do lado homem.
Na afirmação de que não há relação sexual,
no sentido de que é impossível que se escreva, ou seja, que não
cessa de não se escrever, porque, não há no inconsciente
a inscrição da diferença homem - mulher, é que pela
via significante do falo, ao que se chega é à questão lógica
do ser e do ter, lógica esta que só se tem acesso pelas operações
discursivas. Penso, ser um dos tempos no texto que merece ser debatido. Porque,
como situa a autora, trata-se de um ponto limite de avanço discursivo,
que está na hiância entre o discurso da histérica e o discurso
do amo, onde o falo tem função, justamente, pelo que se oculta nos
mistérios do feminino. Ponto de fracasso em relação ao falo
como órgão, pela entrada do significante, enquanto causa dos efeitos
de gozo, fazendo diferença no posicionamento do sujeito em relação
à castração. No texto, leio mais um passo, no fato, de
que a autora localiza a sua hipótese inicial. "Como relançar
a aposta, como relançar o a, que é o que permite seguir e operar
numa análise?" "Ponto vivo" numa análise, segundo
a leitura que a autora faz de J. Lacan, onde aqueles que escutam como analistas
estejam implicados, fazendo com que a prática desempenhada na tarefa analítica
tenha conseqüências. Seguindo então, neste ponto, onde está
localizada a hipótese que a autora pretende discutir neste trabalho, encontramos
o SsS como algo que "o analista precisa fazer suporte para cair, para "des-ser"
de sê-lo". Esclarece que tal suporte "vem sendo deixado fora das
análises", e é o que precisa avançar por se encontrar
fixado em duas vertentes. Na vertente lógica, que deixa fora o SsS, por
apontar à mestria, ou, na vertente histérica, que o deixa na falácia.
No entanto, a lógica pode tanto encobrir a incomensurabilidade (§
8º) se ela for ao lugar da verdade, como também a lógica pode
ser um auxílio para evitar confusões a respeito do estatuto do analista. Mais
uma passagem a ser discutida: onde o lugar da verdade deverá tomar outra
dimensão, "pelo que se abre na forma do traçado daquilo que
se coloca para o analista, em termos do ponto onde este deve situar-se, para seu
ato". Ponto onde os analistas têm recuado, onde é necessário
fazer cortes, onde o a desliza, onde o analista volta ao mundo esférico.
Porém, é o ponto onde "é preciso relançar o a,
na via da função do escrito, enquanto este tem a ver com o real
lacaniano". Aí, a direção assinalada, não é
a de questionar a relação, pelas proposições do lado
homem, pela via significante do falo - não é sem passar por elas
- mas, dar mais um espaço, que seria o de utilizar essa lógica que
se abre "na direção de interrogar o falo em termos de sua condição
de verdade". Esta interrogação situa-se nas fórmulas
que estão no lado direito, lado mulher da Tábua da Sexuação Seguindo
Lacan, a autora nos diz que a função de uma mulher só se
desprega no que o matemático pede em termos da multiunidade, se a função
que esta tem é saber que o Pai está ali em sua função
radical. Pergunto: Seria, então, neste ponto, a possibilidade de vir a
se fazer uma decisão irreversível, por "uma volta sobre o real,
que passa em cada um dos buracos dos diferentes discursos, no que diz respeito
aos valores sexuais que são homem-mulher, em relação ao valor
de gozo do falo, enquanto significantes na linguagem?" O desejo estaria de
uma outra maneira, que não amarrado ao significante Nome do Pai, fazendo
equivalência do falo? A autora, sustenta no texto um ponto de avanço
discursivo, onde poderá haver mudanças no laço social, e
não, recuperação de gozo. Função que uma mulher
pode introduzir - por ser não-toda gozo fálico - "pode escrever
aquilo que se pode inscrever justamente por não ser". Mais um
passo. Esta operação marca um lugar na hiância entre o discurso
do mestre e o do analista, onde a lógica não encobre a dimensão
da verdade, "ponto do traçado onde o analista precisa situar-se, para
despregar a função que uma mulher pode introduzir". Afirma
que "se algo se escreve num lugar matemático, que não é
qualquer, uma vez que a lógica da castração está em
relação ao impossível de escrever a relação
sexual, no sentido de que não cessa de não se escrever, só
pode ser algo pela via do contingente, pelo lado mulher, no sentido de que pára
de não se escrever". Havendo possibilidades que alguma coisa se
escreva, abre a duas vertentes lógicas. Uma delas colocaria as letras que
se pulverizam e que retornam em relação ao isso que se tenta ser
no lugar do gozo materno, gozo unificante, segundo os significantes paternos,
lugar que como situa Isabel Considera, permite alguma realização
na comunidade dos humanos, mas, que no simbólico mantém o desejo
amarrado à compulsão do destino. A outra vertente, onde "as
letras que aí não fazem consistência de ser, por não
poderem ser escritas, são as que autorizam o analista a sustentar sua prática,
o seu ato, que é fazer suporte do SsS para o seu des-ser". Finaliza,
ressaltando mais uma vez, que essa função que uma mulher introduz,
por estar forcluída nos outros discursos, mesmo no da psicanálise,
só o analista pode despregá-la, por operações discursivas,
e que estas operações têm a ver com o real lacaniano, portanto,
com o final de análise, única possibilidade por uma aposta, que
coloca o par analista-analisante, vindo a fazer mudanças no gozo real.
Então, a autora ressalta que - os pontos cruciais do final de análise
para Lacan - trata-se de "um gozo real que venha decidir a prática
em termos de que venha a ter conseqüências". Para a autora, a
função que uma mulher introduz é a heterosexualidade, tanto
para um sexo como para outro sexo. Partindo dos pontos articulados na escrita
deste texto, e das asserções propostas que desenham a geografia
conceitual deste Congresso, situo este trabalho em relação ao primeiro
tema: "O inconsciente como sexual".
lecture de EDMÉA
ROQUE, Praxis Lacaniana/Formação em Escola.
| |